La place du livre a longtemps été capitale dans la vie de l’autrice. Comme de nombreuses femmes, elle a eu recours à la lecture pour vivre avant de pouvoir vivre. Elle a longtemps pensé que sa vie se résumait à être vécue par procuration à travers des écrits. Elle considère être entrée dans le féminisme une fois qu’elle a pu naviguer entre vivre sa vie et lire des livres. Elle cite de nombreuses écrivaines féministes dans son œuvre, des noms peut-être moins entendus, ce qui permet de donner des envies de lecture aux lecteurs et de nouveaux horizons.

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​Ce premier roman n’est pas une fin mais plutôt une porte à ouvrir pour se plonger dans un nouveau féminisme qui nous sort des sentiers battus. C’est à la fois un souffle nouveau et une respiration qui reprend enfin et donne de la place à toutes les femmes.